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Thich Nhat Hanh

Retraites spirituelles

Woaw , un « grandissement »

Cela m’a bien aidé, j’avais divorcé et je n’étais pas « guérie ».

Comprendre que rien n’est jamais acquis, que rien ni personne ne nous appartient. Et savoir accepter les choses ou les personnes telles qu’elles sont et non pas telles que l‘on voudrait qu’elles soient. C’est un chemin vers l’acceptation.

   1. Première retraite

Lors de ma première retraite j’ai retenu deux mots : "L’ainsité et l’impermanence"

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C’est également s’accepter soi-même avec nos qualités et nos défauts  et trouver la voie pour progresser.

Accepter  m’a permis le lâcher prise, a fait disparaître des peurs inconscientes et imaginaires.

J'y ai appris la méditation en pleine conscience.

De ce fait , ma progression a continué vers l’ouverture…

   2. Deuxième retraite
Lors de ma deuxième retraite j’ai saisi ce que voulait dire "arroser les mauvaises graines".
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Je me suis alors rendu compte que j'arrosais régulièrement les mauvaises graines par la colère et la haine enfouies en moi. Mentalement à juste titre peut être mais émotionnellement à mon propre détriment. 

Là-bas je me suis dit "woaw ce n'est plus une graine depuis que le temps que je l’arrose de mauvaises pensées, la graine est maintenant devenue un "baobab", ce fut une révélation. J’ai compris le mal que je me faisais, le mal que j’entretenais depuis des années. 

Pendant l’enseignement de Thaï, j’ai senti  un énorme arbre au fond de moi qui me pesait et prenait bien trop de place dans mon corps.

A ce moment j’ai pris conscience de cela et j'ai pratiqué l'arrosage des bonnes graines. A force cela devient une habitude et un réflexe naturel sans y penser.

Ce changement m'a permis de retrouver plus de joie et de sérénité et plus d’amour envers moi-même.

Et cela m’a tout doucement ouvert les portes du non jugement et du pardon…

Tout un programme.

Qu’est-ce qu’aimer, qui sait aimer, comment aimer sans souffrir?

Que se cache derrière mon envie, mon besoin d’être aimée et mon envie ou mon besoin d’aimer.

Ma peur, ma peur de souffrir ou de faire souffrir.

Et si je pouvais être libre d’aimer et d’être aimée, sans peur, sans souffrance.

Si je me sens entière, vraie en remontant les émotions  de mon plexus au niveau du cœur, je peux essayer d’aimer de façon inconditionnelle.

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   J'ai fait  ma troisième retraite en couple, j’ai compris "l’Amour et l’attachement
   3. Troisième retraite

Lâchant mon attachement lié à mes peurs imaginaires. C’est difficile,  je pensais même que c’était impossible, car pour moi aimer était synonyme d’attachement. Et pourtant, il suffit de cultiver les bonnes graines, encore, celles de l’amour et de la compréhension.

Et activer la présence,  être présent, « je suis là »…

 

Un chemin sans fin...

Durant cette retraite j'étais dans la famille "Océan de paix"

Quand j'ai découvert ma famille et ce nom , cela m'a bien parlé.

L’écoute profonde amène une vision profonde en  soi-même et apporte soulagement et guérison à soi et aux autres.

les graines de compassion sont déjà en nous, il nous faut quitter les perceptions erronées et jugements pour laisser parler l'autre de sa souffrance.

En famille, on pratique l'écoute profonde, sans jugement. On écoute en touchant la souffrance, les émotions de l'autre. Cela apporte apaisement et consolation.

Les émotions sont impermanentes...

   4. Quatrième retraite

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  Ma quatrième retraite m’a permis de renforcer l’écoute profonde

J'inspire , j'expire...
ici et maintenant...
Je suis arrivé...
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